Aujourd'hui
A bientôt 27 ans, Alexis Dargenton réalise un très bon début de saison sous le maillot du PB86. L’ancien Tourangeau cultive une autre passion, débordante, pour le dessin, dont il envisage de faire son futur métier.
Le début de saison
« C’est très encourageant, on a une très bonne équipe. Que ce soit en préparation ou dans les premiers matchs officiels, on a produit des choses intéressantes face à de très bonnes équipes. »
La Nationale 1
« C’est un championnat très dense, homogène, avec un arbitrage qui fait que les matchs sont plus serrés. Il y a des surprises toutes les semaines, on ne peut pas prendre un adversaire à la légère. »
Ses performances
« Je suis très satisfait de ce début de saison et de ma place dans l’équipe (7pts, 4,3bds,
6,7 d’évaluation). On a un groupe très homogène, beaucoup de talents et de complémentarité. Chacun a un rôle qui, à mon avis, est le bon. Je pense que ça se voit sur la manière dont on joue. L’énergie que j’amène ? J’ai toujours joué comme ça. Là, je sors du banc et j’essaie d’amener un second souffle dont l’équipe a besoin. »
Et sinon ?
Un défaut ?
« Quand j’ai une idée, je vais en général au bout. Disons borné ! »
Une qualité ?
« Partageur ! Je suis un gars d’équipe. »
Un surnom ?
« Alex, simple et efficace. »
Gamin, tu rêvais...
« De devenir basketteur pro. J’aurais aussi aimé être astronaute, mais la taille (2,03m) fait que ç’aurait été compliqué ! »
Ce que tu n’aimes pas qu’on dise de toi...
« Que je suis égoïste. »
Ta plus grosse peur...
« Que ma carrière s’arrête prématurément. »
Un don caché ?
« Je suis un artiste, je dessine depuis tout petit. Je me lance dans le design, l’illustration, la création de logos... »
Une journée dans la peau de...
« Kobe (Bryant), j’aurais aimé savoir ce qui se passait dans sa tête. »
La famille ?
« J’ai trois frères et une sœur. Je suis dans une famille recomposée, le quatrième. »
Un livre de chevet ?
« #Rule1, de Phil Town. C’est un livre sur le business, sur la manière de gérer ses finances, son patrimoine. Ça m’intéresse de savoir ce que font les gens qui réussissent dans la vie. »
Une devise ?
« Il faut toujours donner le meilleur de soi-même. »
Un voyage ?
« J’aimerais bien aller en Australie. Sinon, les Etats-Unis. J’y ai passé six ans de ma vie, dont trois dans l’Utah. »
Un mentor
« Mes deux grands frères et ma grande sœur. »
Un péché mignon ?
« Les chips. Ça se voit pas, hein ? »
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Grégory Moutier, accompagnateur à la vie sociale
Il n’appartient à aucune structure mais travaille potentiellement avec toutes. Depuis six ans, Grégory Moutier accompagne des personnes en situation de handicap le temps d’une balade ou d’un voyage. Un métier encore assez méconnu et qui ne rentre dans aucune « case ».
