"Afin de réduire les risques de contaminations, le présentiel dans les formations à effectif important sera limité pendant les trois prochaines semaines", annonce l’université de Poitiers sur son site Internet. Le nombre de signalement de cas (Covid et contacts) a "doublé tous les jours" durant la semaine dernière. C'est pourquoi l'établissement poitevin a choisi de remettre en place des jauges correspondant "à la moitié de la capacité des amphithéâtres et des salles". "Les étudiants seront informés sur les modalités d’enseignement les concernant (à distance, en mode hybride…) par les équipes pédagogiques", précise la présidence de l'université. Ces nouvelles mesures sont prévues pour une durée de trois semaines, jusqu'au vendredi 28 janvier. "Cette période doit permettre de passer l’essentiel de cette 5e vague liée au variant Omicron." Dans un communiqué, le Snesup-FSU dénonce "l'impréparation conduisant de nouveau à la mise en oeuvre d'enseignement dégradé à l'université de Poitiers". Le syndicat regrette en particulier "l'absence de politique permettant d’assurer la qualité de l’air dans les salles d’enseignement : capteurs CO2, purificateurs d’air, travaux permettant une aération correcte des locaux - tout cela aurait dû être anticipé depuis des mois". Il appelle le personnel à se mettre en grève le jeudi 13 janvier et à rejoindre le cortège de l'Education nationale.
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Il n’appartient à aucune structure mais travaille potentiellement avec toutes. Depuis six ans, Grégory Moutier accompagne des personnes en situation de handicap le temps d’une balade ou d’un voyage. Un métier encore assez méconnu et qui ne rentre dans aucune « case ».
