« Ce qui m’a de suite touché, c’est sa grande aisance vocale (oreille absolue, justesse et grande précision rythmique). Puis sa façon de tout donner de son énergie et de son authenticité. J’ai aussi senti une grande capacité d’écoute et une graine de grande artiste dans sa maîtrise innée de la musique. »
« The Voice est avant tout une émission de divertissement dont les curseurs d’évolution sur chaque candidat sont nombreux. Tout y est organisé pour conquérir l’audimat. Mais le talent et la fraîcheur de Marghe existaient avant l’émission. Elle maîtrisait déjà parfaitement sa démarche artistique. Sur The Voice, à chaque performance vocale, elle a su faire entendre une facette de ses talents. Puis les conseils très professionnels de Florent Pagny, sur son look par exemple, l’ont faite entrer dans la cour des grands. »
« Vocalement, elle a développé sa palette de timbre, avec un placement de voix sur les basses. L’apport technique de sa coach vocale lui a permis de placer sa voix du larynx au diaphragme. Elle a donc gagné en nuances musicales. »
« Oui. Pendant nos nombreuses séances de travail ensemble, je me suis rendu compte de son extrême facilité d’apprentissage et de mémorisation. Elle est capable de retenir sans jamais rien noter. On sent une culture de l’oralité chez Marghe. C’est d’une puissance extrême et d’un velours pour construire ensemble. Enfin, sa dextérité linguistique est surprenante. Pas moins de cinq langues chantées, notamment le malgache. »
« Tout n’est que positif. MaDa est encore l’unique entité où Marghe développe en totale liberté et indépendance ses projets créatifs et personnels. MaDa a dépassé plus d’un million de vues sur ses réseaux sociaux. Nous avons reçu des milliers de messages depuis un an. MaDa incarne un métissage musical. Et c’est sous MaDa que « Forget everything », la dernière chanson de Marghe à The Voice, a été composée et réalisée. Tout est dans les starting-blocks de notre côté pour enclencher la vitesse 2 : concerts en France et à l’étranger, réalisation d’un premier EP, projet de post-synchro pour nos musiques, partenariats socio-culturels... Des rendez-vous sont pris. »
Photo : DR.
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Axelle Walker. 29 ans. Mosellane d’origine, à Poitiers depuis presque dix ans. Paléontologue au sein du laboratoire Palevoprim et volleyeuse de haut niveau. A remporté plusieurs fois le championnat de France universitaire et connu l’Elite féminine avec le CEP Poitiers-Saint-Benoît. Promène son indéfectible sourire entre sport et recherche.
