
Hier
Le mauvais départ du guichet unique
Le guichet unique est loin de faire l’unanimité auprès des professionnels. Censé simplifier les formalités imposées aux entreprises, il les complexifie, au risque de ralentir l’activité économique.
Mi-août, la Confédération syndicale des familles a rendu une étude sur le coût de la rentrée scolaire. L’association a interrogé plus de deux cents familles sur leur budget destiné aux fournitures ou vêtements. En moyenne, les parents déboursent 150€ pour un enfant qui entre en CP (2,78% de moins que l'an dernier), 200€ pour un élève de CM1 (-2,65%), 350€ par collégien de 6e (-2,29%). On note donc une sensible diminution du budget global pour ces niveaux.
En revanche, à partir de la seconde les prix augmentent, cela quelle que soit la filière. Comptez environ 400€ (+2,62%) pour un lycéen en bac général et 700€ (+2,10%) en bac pro. Une note salée qui s’explique par l’achat d’équipements spécifiques, par exemple une mallette de cuisine ou une boîte à outils.
La grande majorité des familles (90%) tentent de limiter les dépenses en réutilisant les fournitures d’une année sur l’autre. Les cartables, par exemple, servent tout un cycle. Au delà du matériel inscrit sur la liste des fournitures scolaires, il est souvent nécessaire d’acheter des vêtements de sport, des baskets, une blouse pour les cours scientifiques…
Pour les familles aux revenus modestes, l’Allocation de rentrée scolaire (ARS) a été versée cette semaine par la Caisse d'allocations familiales. Elle varie de 364€ à 387€, en fonction de l’âge de l’enfant. La Caf de la Vienne a alloué cette aide à 17 963 familles pour 29 914 enfants. Le montant total versé s'élève à 11,1M€.
À lire aussi ...
Hier
Le guichet unique est loin de faire l’unanimité auprès des professionnels. Censé simplifier les formalités imposées aux entreprises, il les complexifie, au risque de ralentir l’activité économique.
Hier
Le CHU de Poitiers vient d’être labellisé centre pluridisciplinaire de prise en charge de l’endométriose, à l’instar de quinze autres sites en Nouvelle-Aquitaine où cette maladie gynécologique toucherait une femme sur dix. Entretien avec le Pr Xavier Fritel, chirurgien gynécologue.
mercredi 01 février