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Adieu masques, gel hydroalcoolique et distanciation sociale... 2023 sonne le retour de la « vie normale », celle d’avant la crise de la Covid-19, où les contraintes sanitaires ne pesaient que de peu de poids sur nos vies, même en cas d’épidémie de grippe ou de gastro-entérite. Rares sont désormais les personnes à choisir de se protéger des autres et d’éventuels virus dans la foule. C’est à la fois réconfortant et, en même temps, problématique. Car dans l’ombre de l’immense majorité des bien-portants, quelques personnes gardent dans leur chair des séquelles du Covid... long. Comme Sandra, qui nous a adressé un témoignage édifiant sur son calvaire depuis septembre dernier. « Ma vie sociale et professionnelle s’est arrêtée à la date du 17 septembre 2022. Je suis une martyre, malade du Covid long », démarre-t-elle, égrainant la liste des désagréments du quotidien. Face à cette situation ou à celle de Guillaume et Anaïs, le corps médical semble démuni. Alors si l’insouciance a repris ses droits, la vigilance face au SARS-CoV-2 doit demeurer. Pas simple tant d’autres sujets ont pris le pas depuis un an, de la guerre en Ukraine à la réforme des retraites.
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mercredi 09 juillet