Super voisins, résidence apocalyptique

Michel Cordeboeuf signe sa première BD en tant qu’auteur, aux côtés du dessinateur lyonnais Tezwin. Bienvenue dans une résidence un peu barrée !

Arnault Varanne

Le7.info

Le premier confinement du printemps 2020 a constitué une source d’inspiration pour de nombreux artistes. Dany Boon a imaginé 8, rue de l’Humanité, passé régulièrement sur Netflix. Michel Cordeboeuf s’est, lui, lancé dans son premier scénario de BD, sollicité par le dessinateur lyonnais Tezwin (Vincent Estezet). Dans Super voisins, résidence apocalyptique, l’auteur poitevin a donné vie à une galerie de personnages loufoques, d’Albert la grande gueule à Nestor le concierge (un chat), en passant par Mamy Denise, les policiers ou encore Tina. « En théorie, la notion même de voisin induit le respect des valeurs de la société, de la vie privée, des libertés individuelles, esquisse le binôme d’auteurs. L’acceptation de la différence, les valeurs humaines telles que la solidarité, la tolérance, l’empathie contribuent à ce que l’on nomme couramment les rapports de bon voisinage ou le bien-vivre ensemble. Mais en théorie seulement car c’est compter sans la face obscure des occupants de cette résidence. Ils présentent des tempéraments disons singuliers, et cohabitent bon gré mal gré. » La BD est riche de strips, de dialogues loufoques et décalés. A lire !

Super voisins, résidence apocalyptique 48 pages - Tez’Editions - 
Plus d’infos sur labandedu9.fr.

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