Hier
Visiblement mécontents, ils ont tapé sur les vitres et les portes de l’hôtel de Ville. « C’est inadmissible que cette mairie soit fermée », s’est emporté le maire. Finalement, les "défenseurs" de l’ex-théâtre ont pu pénétrer dans la salle des Echevins. Mélusine, slameuse de l’association « Un Astre en moi », devait déclamer un texte, mais Alain Claeys n’a pas souhaité interrompre le conseil municipal.
En signe de protestation, les membres du collectif ont scandé : « Le théâtre n’est pas à vendre, il est à nous ! » L’ambiance, déjà électrique, s’est peu à peu dégradée. Sifflets, insultes, provocations... Aurélien Tricot, adjoint au Sports, a failli perdre son sang froid : « Nous n’avons aucune leçon de démocratie à recevoir. Nous, les socialistes, sommes fiers de notre travail pour permettre l'accès de la culture à tous. Vous pouvez toujours crier, moi aussi j’ai la voix qui porte ! » Le maire a, tant bien que mal, tenté de calmer le jeu. « Je veux que l'on retrouve une certaine sérénité. Je le dis gentiment, mais fermement : n'insultez pas les membres de ce conseil.
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samedi 20 décembre