
Aujourd'hui
Avant le verdict des urnes dimanche, Alain Claeys s’offre un ultime « tour des quartiers et des écoles » de Poitiers cette semaine. Ce midi, il déjeunait avec son équipe dans le restaurant « Pourquoi pas », il sera demain à « L’Eveil »… Son objectif est évidemment de mobiliser l’électorat qui ne s’est pas déplacé le 23 mars. Autant de soutiens potentiels de la gauche pour la liste qu’il conduit. À dire vrai, son avance au soir du premier tour a été « confortée » par l’achoppement des négociations entre Jacqueline Daigre et Eric Duboc. Il n’y aura pas de front uni à droite et la nouvelle le réjouit. Evidemment.
Quand ses concurrents évoquent « un recul historique du maire de près de vingt points » par rapport à 2008, lui évoque un différentiel de « huit à dix points ». « Il ne faut pas oublier que nous étions avec Les Verts ! » Les mêmes avec lesquels il n’a pas passé d’accord, comme il s’y était engagé avant le premier tour. « J’ai respecté jusqu’au bout l’accord avec Les Verts. Mais je n’allais pas passer un accord avec des gens qui s’allient à l’extrême gauche, eux qui n’ont voté aucun budget. Quand on fait de la politique, on prend des risques. Je les ai pris avant le premier tour. »
Son principal souci aujourd’hui, c’est évidemment d’obtenir le meilleur score pour bénéficier d’« une majorité assise ». «Il faut transformer l’essai. Rien n’est gagné !» Alain Claeys tiendra un meeting, jeudi soir, aux Salons de Blossac. Sans tête d’affiche, la précision est importante !
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Jean-Charles Suire-Duron. 53 ans. Directeur général de VYV Ambulance, 3 400 salariés en France. Tourangeau de naissance. Poitevin d’adoption. Entrepreneur dans l’âme. Fan de sport. Discret et altruiste. Côté privé, père de famille comblé.