
Aujourd'hui
Avec l'hypnothérapie, rentrer du bon pied
Hypnothérapeute à Buxerolles, Lucie Leprêtre-Neveu vous distille cette saison ses bons conseils pour aller mieux.
Hier encore, ils barbotaient dans le bain de la nouveauté et de l’inconnu. Les voilà plongeant sans retenue dans le bouillon de l’enthousiasme communicatif. Un an à peine après avoir porté Poitiers water-polo sur les fonts baptismaux, Léo Aubouin et ses joyeux drilles, pour la plupart compagnons d’armes, jadis, au Stade poitevin, ou hier encore sous la bannière du CEP, érigent le plaisir en vertu cardinale. Une belle et grande famille que celle-là. « C’est ainsi qu’on l’avait imaginée au départ, sourit le président. Hommes, femmes, enfants, pratiquants aguerris ou néophytes, tout le monde a sa place chez nous. Le partage, c’est notre moteur. »
Cette philosophie-là, « PWP » la cultive jusqu’aux bassins de Nationale 3, où des dames sont régulièrement intégrées à l’équipe. Deux ou trois aujourd’hui, peut-être plus demain, au fil d’un parcours que chacun au club espère aussi abouti que le précédent. En remportant la totalité de ses matches de phase régulière, Léo et les siens s’étaient en effet offert le droit de goûter à des demi-finales aussi inespérées que clinquantes au printemps. Mieux encore, ils avaient eu l’honneur de les organiser. Un souvenir magique. « Peu importe si on a perdu nos trois matchs, retient le président. Monaco, Montpellier et Lille nous étaient de toute façon supérieurs. Pour nous, l’essentiel était ailleurs. Dans le bonheur éprouvé à être acteurs de ce moment de fête. Cela donne véritablement envie de viser les phases finales chaque année. Aller au-delà ? Pour être honnête, ce n’est pas notre priorité du moment. On verra avec le temps. »
Le temps seul pourra en effet éveiller l’envie d’assumer de plus hautes ambitions. Dans l’attente, le PWP ne se met pas martel en tête. Au matin de sa deuxième année d’existence, le premier club indépendant de water-polo de la Vienne couve plus que jamais de ses attentions sa quarantaine d’adhérents. Il a même fait le pari de s’ouvrir à la diversité, en créant sa propre école de water-polo. Cinq gamins de 11 à 16 ans la fréquentent à ce jour. Beau début, louable promesse !
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Jean-Charles Suire-Duron. 53 ans. Directeur général de VYV Ambulance, 3 400 salariés en France. Tourangeau de naissance. Poitevin d’adoption. Entrepreneur dans l’âme. Fan de sport. Discret et altruiste. Côté privé, père de famille comblé.