Il flotte comme un parfum de fin d’été, et pas seulement parce que le soleil joue les intermittents depuis la semaine dernière. Les rentrées des partis politiques donnent le ton de ce que devrait être l’automne : offensif. La semaine dernière, le député Sacha Houlié, rallié à Place Publique, s’est payé la maire de Poitiers sur les réseaux sociaux, lui reprochant sa présence auprès d’Aymeric Caron à Tours lors de son « UniREVCité ». Un « événement où est prônée l’incitation à la violation des lois républicaines et la relativisation de l’antisémitisme », juge le député de la 2e circonscription de la Vienne. En menant la charge contre Léonore Moncond’huy, le parlementaire entre de plain-pied dans la campagne des élections municipales prévues en mars 2026. Le 14 juillet, Sacha Houlié a posé aux côtés de l’ancien maire de Poitiers et d’autres futurs candidats à l’hôtel de Ville. Les deux événements ne relèvent évidemment pas du hasard ou du ballon d’essai. L’ancien Macroniste a envie de s’impliquer dans les affaires locales. Mais il n’est pas le seul, loin de là...
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Jean-Claude Miot. 79 ans dont quarante-sept de bénévolat. Enfant de la campagne, façonné par les valeurs du sport. Professeur d’électrotechnique, devenu éducateur puis dirigeant. Médaillé. Croit que le sport peut changer des vies.
