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Avec l'hypnothérapie, rentrer du bon pied
Hypnothérapeute à Buxerolles, Lucie Leprêtre-Neveu vous distille cette saison ses bons conseils pour aller mieux.
Qu’est-ce qui vous a convaincu de signer au PB86 ?
« Coach Andy a été très honnête sur ce qu’il attendait de moi. C’est un gars down-to-earth (terre à terre, ndlr), la connexion s’est faite très rapidement entre nous. Il a de grands objectifs pour l’équipe et je veux l’aider à les réaliser. ll m’a challengé et quand un entraîneur me challenge comme il l’a fait, j’ai envie de jouer pour lui. »
Pays-Bas, Danemark, Belgique, Ukraine, Allemagne... Vous avez une belle expérience en Europe mais que savez-vous de la France ?
« Pour être honnête, à part Paris, je ne connaissais pas grand-chose de votre pays. C’est donc un plaisir d’avoir signé à Poitiers et d’avoir la possibilité de me montrer. »
Vous êtes un pivot qui peut aussi évoluer comme ailier-fort. Quelle est votre préférence ?
« Ça dépend des situations et du match. Si j’ai un adversaire plus lourd que moi, je vais avoir tendance à l’éloigner de la raquette et à utiliser ma vitesse. Mais j’aime bien avoir cette liberté entre les deux postes, ça amène beaucoup de variété aussi pour l’équipe. Après, encore une fois, tout dépendra des consignes et des gars que j’aurai en face. »
Narcisse Ngoy et Ismaïla Koita sont de très jeunes joueurs. Vous sentez-vous un peu comme un mentor pour eux ?
« Oui, absolument !
J’ai déjà joué ce rôle-là l’année dernière en Allemagne et c’est sympa de pouvoir donner des conseils avec son expérience. Je n’étais pas le plus vieux la saison passée, ni cette saison mais nous avons beaucoup de jeunes dans cette équipe. Le coach veut clairement que je participe à les encadrer. Pour ça, il faut que je sois exemplaire. »
Que savez-vous du niveau
de l’Elite 2 ?
« C’est l’une des meilleures secondes divisions en Europe avec beaucoup de joueurs athlétiques. C’est aussi pour cela que je voulais jouer à Poitiers. C’est un championnat très compétitif avec vingt équipes qui peuvent gagner. »
Pourquoi n’êtes-vous jamais resté plus d’une saison dans un club depuis votre sortie d’université ?
« C’est un peu un concours de circonstances. Je me suis blessé lorsque j’ai signé en Belgique (6 matchs sous le maillot des QSTA United, ndlr) et après je suis parti dans un autre pays. Ce sera peut-être possible en France dans une top ligue très stable. Je vois beaucoup de gars jouer en France pendant des années, ça veut dire quelque chose. »
Quelle est votre première impression sur les fans,
la ville ?
« J’ai été très bien accueilli par les fans, le staff. Je les apprécie beaucoup. Concernant la ville, je viens de New York qui est très bruyante. C’est plus tranquille à Poitiers ! »
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Jean-Charles Suire-Duron. 53 ans. Directeur général de VYV Ambulance, 3 400 salariés en France. Tourangeau de naissance. Poitevin d’adoption. Entrepreneur dans l’âme. Fan de sport. Discret et altruiste. Côté privé, père de famille comblé.