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Victimes d’une tentative d’intrusion de grande ampleur dans son système informatique, Poitiers et Grand Poitiers fonctionnent en mode dégradé depuis la fin de semaine dernière.
Anthony, comment avez-vous atterri à Poitiers ?
« Par mon agent ! Je cherchais à découvrir un nouveau championnat européen et j’ai entendu de bonnes choses sur la France. La France est un pays stable sur le plan contractuel. Je connais quelques équipes d’Euroleague comme Nancy… »
Etiez-vous en relation avec des joueurs qui ont fréquenté le championnat français ?
«Oui, je connais des joueurs comme Terrell Everett (ex-Chalon) ou Alex Gordon (Nanterre), avec lesquels j’ai joué à Bremerhaven l’an passé.»
Racontez-nous votre début de carrière en Europe…
«Après ma sortie de Liberty university, j’ai trouvé un contrat en Espagne (Ndlr : Cornella, 14,3pts, 3,6rbds, 2,4pds) puis j’ai enchaîné sur deux saisons en Allemagne (Giessen puis Bremerhaven). La première saison s’est bien passée sur le plan individuel, mais pas collectivement. La deuxième a été meilleure.»
Le fait que Ruddy Nelhomme soit entraîneur adjoint de l’équipe de France a t-il pesé dans votre décision de rejoindre Poitiers ?
«On a toujours envie de jouer avec de bons coachs pour progresser. Je ferai ce qu’il me demandera et ce dont l’équipe aura besoin. J’espère aider au niveau scoring, comme l’année dernière.»
Vous intégrez un club avec beaucoup de nouveaux joueurs. N’est-ce pas un handicap ?
«Non, je ne pense pas. Le fait que nous soyons beaucoup à arriver va nous permettre de nous rapprocher.»
Vous êtes arrivés sous une chaleur caniculaire…
(il coupe) «La chaleur, j’ai l’habitude ! J’habite Dallas et c’est tout le temps comme ça…»
Comment trouvez-vous la ville ?
«J’ai fait un petit tour en voiture et j’ai déjà repéré le KFC et Pizza Hut. Donc, tout va bien !»
Demain, entretien avec Boris Dallo
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mercredi 03 septembre