
Aujourd'hui
Le bien-être, c’est son dada. Il y a deux ans, Nathalie a donné vie à son rêve de maison neuve dans la campagne poitevine. Une petite maison d’à peine 75m2 -73,40m2 pour être précis !- que cette maman isolée a préférée plus « confortable et pratique » que surdimensionnée et tape-à-l’œil. « Dans les appartements et pavillons que j’avais précédemment occupés, j’en arrivais toujours au même constat d’un inconfort thermique permanent l’hiver venu. Dès l’esquisse de mon projet de construction, j’ai choisi de mettre l’accent sur le système de chauffage. Etre comme un coq en pâte chaque jour de l’année, c’était ma priorité. »
Nathalie n’a donc pas tardé à verbaliser ses besoins, sondant pas moins de six professionnels en un mois pour orienter sa quête. « Tous, je dis bien tous, m’ont tenu le même discours sur le pouvoir de séduction de l’association pompe à chaleur-plancher hydraulique. J’avais déjà entendu parler de cette chaleur douce et homogène que pouvait diffuser un chauffage au sol, je me suis lancée. Après deux hivers passés dans cette maison, je ne le regrette pas. » A l’instar de Nathalie, les propriétaires de maisons neuves (en rénovation, l’installation d’un plancher chauffant est souvent possible, mais généralement soumise à d’importants travaux de… déconstruction : parquet ou carrelage à retirer, prises à surélever, portes à raboter…) sont nombreux à miser sur cette fameuse diffusion « douce et homogène » de la chaleur. Et ce dans toutes les pièces. « Quand on passe de l’une à l’autre, on n’est confronté à aucun changement de température, jubile la Poitevine. La chaleur est uniforme. Elle ne remonte pas et ne s’accumule donc pas au plafond. Et en plus, un plancher chauffant, c’est discret. On ne fait que le deviner, c’est libérateur d’espace. » L’installation de Nathalie a cet autre mérite d’être réversible et d’apporter, via le carrelage qui lui sert de revêtement, un maximum de fraîcheur aux heures de pointe de la canicule. Il nous faut l’avouer, l’exemple de cette maman solo est un modèle de qualité supérieure. Si la convertibilité ne vous convainc guère, si la chaudière à gaz, voire à bois, a vos préférences, si vous pensez qu’un réseau de câbles électriques, au lieu des tubes d’eau chaude, vous fera faire des économies à l’achat, faites-vous confiance. Dans tous les cas, un plancher n’ayant besoin que de chauffer à 50°C pour restituer 28°C de température, il sera toujours moins dispendieux en énergie que des radiateurs ou convecteurs électriques chauffant à 80°C. D’après les spécialistes, entre 15 et 20% d’économies sont à envisager. N’oubliez toutefois pas qu’en termes d’économies, justement, et de rentabilité, c’est sur la durée qu’un plancher à eau chaude fera son œuvre. Retour sur investissement assuré. Cela, Nathalie l’a bien compris !
À lire aussi ...