> Une minute de silence a été observée, avant l'ouverture du conseil de Grand Poitiers, à la mémoire de Jean-Pierre Garnier, ancien adjoint aux Sports de la Ville de Poitiers sous l'ère Santrot (1995-2008), décédé des suites d'une longue maladie.
> La SNCF développera un partenariat avec Grand Poitiers et mettra en œuvre des clauses d'insertion. Ces dernières permettent de privilégier les personnes en difficulté et éloignées de l'emploi à travers les marchés publics. « Il y a trois millions de chômeurs en France. Les politiques d'insertion sont plus que jamais indispensables », a insisté le président. El Mustapha Belgsir, vice-président de Grand Poitiers, a tenu à rappeler quelques chiffres : « En 2011, 723 personnes ont été a accompagnées grâce à notre Plan d'insertion locale. 280 ont pu obtenir un CDD et 81 un CDI. »
> Grand Poitiers a décidé de réviser le Plan sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé. Le nouveau périmètre s'étendra à 184 hectares. « Poitiers aura le secteur sauvegardé le plus étendu de France !, a affirmé Alain Clays. Il faut mettre en valeur notre patrimoine bâti et naturel. »
> La réhabilitation du « Printemps » nécessite la réalisation d'une aire de livraison pour les poids lourds et d'un passage piéton. Ces travaux débuteront au plus tard le 31 décembre, pour un montant de 55 016 € TTC. La société Virgil paiera dans un premier temps ces travaux à Grand Poitiers et Grand Poitiers remboursera la Ville. Alain Claeys a profité de cette délibération pour affirmer qu'il n'avait toujours « aucune idée du nom des enseignes ». « Nous tiendrons bientôt une conférence de presse à laquelle participera la société Virgil. On en saura sans doute plus à ce moment-là. »
> Alain Claeys est revenu sur le débat LGV après l'intervention du collectif « Anti LGV »: « Il y a quinze ans, on me disait que la ligne ne se ferait jamais. Non, il faut se battre et j'entends mener ce combat ! » Maryse Desbourdes a réagi : « Je mène moi aussi un combat, mais contre la LGV : elle est inutile, onéreuse, écologiquement et socialement désastreuse. Il faut abandonner les grands projets inutiles. Ils sont imposés sans réelle concertation avec la population. Ce sont des milliards d'euros de gaspillés au détriment de véritables investissements. Le changement, c'est pour quand ? » « On ne peut pas demander à promouvoir la croissance et refuser un potentiel projet d'infrastructures quand il se présente ! On ne peut pas le rayer d'un trait de plume en disant '' en temps de crise'' ce projet ne se fera pas », a répondu Stéphane Bracconnier.
> La patineur de haut niveau Brian Joubert demande une subvention de 15 000 euros pour compenser la fermeture de la patinoire. « Je suis là encore réservé sur les conditions des subventions. On va lui verser 15 000 € sans aucun justificatif, ça va financer quoi finalement ? La délibération ne le dit pas. », a réagi Stéphane Bracconnier.
> Le PB86 disposera gracieusement du parc des Expositions et de la salle de Saint-Eloi. Logiquement, la Société Anonyme à Objet Sportif devrait payer ces infrastructures. Mais le changement de statut du PB86 - d'association à SAOS - a pris effet après l'accord de partenariat 2011/2012. Pour la saison 2012/2013, Grand Poitiers facturera bien ces équipements.
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Aujourd'hui
Il n’appartient à aucune structure mais travaille potentiellement avec toutes. Depuis six ans, Grégory Moutier accompagne des personnes en situation de handicap le temps d’une balade ou d’un voyage. Un métier encore assez méconnu et qui ne rentre dans aucune « case ».
