Quitte à changer, autant tout changer. Enfin un maximum. Le parti pris de Mireille et Alain, heureux parents de Ségolène, 22 ans, remonte à l’année dernière. A l’époque de l’installation de leur fille dans le trois-pièces hérité de mamie Paulette, partie en maison de retraite. Le chauffage ? Assuré par une chaudière à gaz en limite de péremption et des radiateurs d’un autre temps. « Ah ça, la fonte, on en a mangé ! » Principalement dans le grand salon-salle à manger qui sert depuis toujours de centre névralgique à la demeure de 70m2 de la grand-mère. « L’état de nos finances nous a imposé de nous concentrer sur cette pièce, rappelle Mireille. Une chambre a depuis été rénovée. La seconde le sera l’an prochain maintenant. »
La rénovation en question, vous l’aurez compris, a principalement porté sur le remplacement des deux radiateurs en fonte qui obstruaient l’espace du cœur de vie. « Mais aussi, bien sûr, sur celui de la chaudière, précise Alain, tout fier d’avoir arrêté son choix sur une pompe à chaleur nouvelle génération. C’est un coût certain, mais sur la durée, on s’y retrouvera. De la même façon qu’on s’y retrouvera avec les plinthes chauffantes que nous lui avons associées. »
Aux modèles à résistances électriques, le couple du Sud-Vienne a préféré les versions hydrauliques, qui ont pour vertus de véhiculer l’eau chaude à la périphérie basse des pièces et de supprimer l’effet « paroi froide » des murs, principalement ceux donnant sur l’extérieur, en présence d’une fenêtre ou d’une baie vitrée. « La diffusion par rayonnement, poursuit le père de Ségolène, permet au-delà une répartition homogène de la chaleur. » Et donc un confort uniforme en tous points de la pièce. C’est sans doute là la plus grande de ses qualités. « Le volume d’eau chaude utilisée est en outre moins élevé que celui nécessaire au fonctionnement des radiateurs, insiste Alain. Les émetteurs de chaleur sont plus performants et la consommation d’énergie moindre. C’est pour cela que je dis qu’avec le temps, nous aurons un bon retour sur investissement. »
Son épouse, elle, est carrément tombée sous le charme. « Pour ce qui est des économies sur la durée, j’ai fait toute confiance à mon mari et à l’artisan auquel nous avons fait appel. Moi, ce que je vois comme autre bénéfice, c’est le gain de place. L’espace libéré par la suppression des deux vieux radiateurs est considérable et nous a permis de valoriser la déco et l’ameublement. Et puis, ces plinthes en aluminium, elles sont belles, se fondant dans le décor et en même temps, elles sont hyper discrètes. Franchement, je ne leur vois que des qualités. »
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